Votre cabinet d'avocats en
Droit Public

Juliette Delgorgue

Docteur en Droit Public et titulaire du Certificat National de spécialisation en Droit Public, Maître Juliette DELGORGUE a débuté sa carrière en 2004. Elle a créé le cabinet Urbis Avocats après avoir exercé durant de nombreuses années dans deux cabinets d'avocats de renom. Elle apporte son expertise à de nombreuses personnes publiques de la Région des Hauts-de-France dans tous les domaines qui touchent, de près ou de loin, l'activité administrative.

Thibaut Nougein

Titulaire d'un Master II en Droit Public, Maître Thibaut NOUGEIN a intégré le cabinet en 2017, au sein duquel il pratique les diverses branches du Droit public, aussi bien en contentieux, qu'en conseil. Fort de plusieurs années d'expérience en tant que responsable des affaires juridiques d'une grande commune du Nord (plus de 40 000 habitants) et titulaire du grade d'attaché territorial, il a une très bonne connaissance du fonctionnement des collectivités et de la vie publique locale.

Sephora Maallem

Titulaire d’un Master II en droit public des affaires et d’un Master II en droit des contentieux publics, Maître Sephora MAALLEM a complété sa formation universitaire par diverses expériences professionnelles, notamment en juridiction administrative, au sein de la Cour administrative d’appel de Versailles. Forte de ces expériences, Me MAALLEM vous accompagnera tant en conseil qu’en contentieux, dans tous les domaines du droit public, notamment en droit administratif général, en droit de la fonction publique et en droit de l’urbanisme.

Une expertise au service des clients du cabinet

0 ans
d’expérience aux côtés de nos clients
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collectivités des Hauts-de-France qui nous font confiance
0
dossiers traités en 2024

Nos compétences

Les avocats du cabinet sont entièrement dédiés au Droit Public et à ses différentes composantes. Ils poursuivent l'objectif d'être opérationnels, réactifs, efficaces et accessibles. Ils disposent afin de sécuriser les dossiers qui leur sont confiés, d'un arsenal documentaire mis à jour quotidiennement.
Droit de l'urbanisme

Le Cabinet assiste quotidiennement ses clients en Droit de l'urbanisme et intervient à ce titre tant en conseil, qu'en contentieux.

Le…

Droit de la préemption et de l'expropriation

Le cabinet a développé une réelle expertise en matière de Droit de la préemption et de l'expropriation.

Les avocats du cabinet assistent en…

Droit de la fonction publique et de l’emploi public

Le cabinet accompagne les employeurs publics dans la gestion de leurs agents, à la fois devant les juridictions administratives et au…

Droit des collectivités territoriales et Droit administratif

Conseil de nombreuses collectivités de la Région, le cabinet connait bien leurs besoins et les assiste régulièrement dans les problématiques…

Droit de la construction publique

Le cabinet assiste régulièrement ses clients lors de la mise en oeuvre des garanties légales et contractuelles de construction.

A ce titre…

Droit des contrats publics

Le cabinet accompagne ses clients dans tous leurs projets et contentieux liés aux contrats publics et à l'achat public.

Cet accompagnement…

Nos valeurs

Expertise et efficacité

Les avocats du cabinet assistent au quotidien leurs clients dans les problématiques touchant de près ou de loin le Droit Public. Ils interviennent tant en matière de conseil que de contentieux et prennent un soin particulier au traitement de leurs dossiers. Les travaux qu'ils livrent poursuivent toujours un objectif de clarté et de technicité. En outre le cabinet a à cœur de toujours apporter des solutions opérationnelles et concrètes aux problèmes juridiques qui se posent.

Réactivité

L'expertise dont bénéficient les avocats du cabinet garantit une capacité d'intervention rapide, que ce soit pour répondre directement à une question juridique ou pour la rédaction, dans de brefs délais, d'une consultation juridique ou d'un mémoire contentieux pouvant porter sur une problématique complexe.

Accessibilité et Disponibilité

Structure à « taille humaine » et justifiant à ce titre d’une réelle « agilité » au service de ses clients, le cabinet a fait de l’accessibilité sa marque de fabrique. Le cabinet met tout en œuvre pour être systématiquement disponible pour ses clients et s'emploie quotidiennement à développer une relation de proximité et de confiance.

Les derniers articles de blog

22 mai 2025
Expropriation/Préemption : Prise en compte de l’état des parties communes d’un immeuble en copropriété pour fixer la valeur vénale des parties privatives – un rappel intéressant
Dans un récent arrêt, la Cour de Cassation jugeait à propos d’un immeuble dont les parties communes étaient dégradées et n’avaient plus été entretenues par suite de l’opération d’aménagement à l’origine du droit de préemption : « Vu les articles L. 213-4 du code de l'urbanisme et L. 322-1 du code de l'expropriation pour cause d'utilité publique : Selon le premier de ces textes, à défaut d'accord amiable, le prix d'acquisition d'un bien préempté, exclusif de toute indemnité accessoire, est fixé selon les règles applicables en matière d'expropriation. Selon le second, le juge fixe le montant des indemnités d'après la consistance des biens à la date de l'ordonnance portant transfert de propriété. Il en résulte que le prix du bien préempté, qui doit être fixé d'après sa consistance au jour du jugement de première instance, prend en compte, s'agissant de biens situés dans un immeuble en copropriété, l'état des parties privatives et des parties communes, même si la dégradation de ces dernières résulte de l'arrêt de tous travaux de rénovation et d'entretien après la création de la zone d'aménagement différé. Pour fixer comme il le fait le prix du bien préempté, l'arrêt retient que l'état dégradé de l'immeuble et des parties communes n'a pas à être pris en compte, dès lors que cet état ne résulte pas d'une carence de l'exproprié mais de la création de la zone d'aménagement différé en vue de la constitution d'une réserve foncière et de l'acquisition des lots de copropriété par l'expropriant, ayant conduit à l'arrêt de tous travaux de rénovation et d'entretien. En statuant ainsi, la cour d'appel a violé les textes susvisés » (Cass., 3ème civ., 3 avril 2025, Pourvoi n° 23-23206).